7 février 2014
"Tic tac"
Il faudrait peut être que j'arrête de passer mes nuits à écrire. Je les peuple ainsi de Fantômes, nostalgiques du Passé, tourmenteurs du Présent, illusionnistes de l'Avenir. Les mots sont pour mon esprit aussi doux que les bras d'un homme autour de mon corps esseulé. Le vide comblé par la fierté que seule la caresse de l'art nous permet.
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