Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Au Claire de la Vie

30 août 2015

The World & I

Merci à ceux qui ont suivi le blog régulièrement. Vous m'avez encouragée, petits yeux invisibles.

Je m'arrête là. Mon esprit est déjà bien ailleurs.

Je vais écrire autre chose, autrement, dans un autre endroit.

J'ai dit tout ce que j'avais à dire sur cette fille là.

Elle est restée en France, de l'autre côté de l'océan.

Merci aux hommes qui ont inspirés ses textes. Humains aux failles attirantes.

Je suis dans le présent de ceux qui sont avec moi, maintenant. 

Je n'analyse plus, j'apprécie.

Et je crée. Muse parmi les muses.

Je suis moi, juste moi. Grande, sensible et invincible.

Je vous retrouverais, un jour, sur scène.

 

 

L u c e

Publicité
Publicité
27 août 2015

true

Je vais vous dire la vérité.

Un jour, j'avais 19 ans, on m'a fait croire que j'étais prétencieuse de vouloir danser.

Alors j'ai oublié mon corps pendant tout ce temps...

19 août 2015

L'Hiver ira bien

Je me sens bien. Le vrai Bonheur à le goût du soleil.

C'est ce que j'ai appris.

L'amour universel commence par s'aimer soi-même. C'est ce que j'ai appris.

"Je te retrouve dans mes rêves" Dame la Danse.

Goûter l'instant, en apprécier chaque seconde.

C'est comme ça que l'univers ira bien.

Au revoir mon amour.

Je te lâche la main.

Mon coeur te rend ta liberté.

Recherche le vrai bonheur.

Aime-toi.

Doux baiser que tu as été

Miroir de ma propre lumière

Celle que j'avais arrêté de voir.

Tu m'as poussée jusque dans la clarté du matin.

Comment pensais-tu, qu'après avoir ré-ouvert ses ailes et soufflé dessus, l'oiseau allait rester auprès de toi?

Tu m'as montré le chemin

A travers les nuages

Libérée de tout jusqu'à me libérer de toi.

Mon amour, you are the One

You are the moon and I am the wolf and I am the Sun.

Sans toi je virevolte dans la douceur de l'aube

Sans oublier la nuit que nous avons été un jour.

14 août 2015

"Il me disait : T'as des yeux qui puent le sex. Et je n'aimais pas ça."

Il me disait : Tu parles trop. Et je n'aimais pas ca.

On parlait beaucoup Mo. et moi.

On faisait l'amour pendant des heures. Alors on parlait...

On parlait de nous, de sentiments, de sex...

On riait si complices...

On se disputait quelques fois.

On se demandait, on s'ordonnait, on se murmurait...

Il me disait : Parle-moi, parle-moi.

C'était comme se rendre compte encore un peu plus de la présence de l'autre.

Avec douceur, avec faim, avec force et passion.

Comme si tu n'étais jamais assez en moi.

Comme si j'allais pouvoir te retenir une seconde éternelle.

Assoiffée de toi, toujours.

Enivrée de toi, toujours.

M'accrochant à ma dose de Mo. comme la droguée que j'étais.

Toujours en manque de ta plénitude au moment même où elle prenait fin.

 

13 août 2015

CHARME

On attend tous quelqu'un qui nous charme non? C'est l'ordre naturel des choses de se rapprocher non?

J'ai peur de la séparation maintenant. 

Elle fait mal parce que l'union a fait du bien, et que la lassitude ne s'est jamais installée.

J'aurais aimé, cent fois, fondre dans ton corps, encore.

Quand ta voix chantait à mon oreille, tes doigts jouaient sur ma peau leur plus belle symphonie.

 

Publicité
Publicité
7 août 2015

Dis-moi

Est-ce que nos différences justifient qu'on se manque de respect l'un l'autre?

Et ce que ce n'est pas plus important d'être reconnaissants pour ce qu'on s'est donné?

Tu es grand, ne te fais pas petit.

 

Un jour il y avait ce sentiment de tout vivre avec plus d'intensité. Ce désir grandissant entre nous jour après jour jusqu'à nous exploser au visage.

22 juillet 2015

Fais moi la paix...

A l'aube de repartir et de te quitter pour toujours. Morgan, je suis à Paris jusqu'à demain, et je t'aime encore...

3 juillet 2015

Je te déteste autant que je t'aime

Vient un temps où tu te demandes comment tu as fait pour être avec quelqu'un comme ca. A l'aimer à ce point. Ou à ne plus l'aimer. A le détester par moments. Tu te demandes pourquoi tu l'as laissé entrer dans ta vie à un moment. Et peut-être même pourquoi il n'y ai plus. Tu n'as plus envie d'y penser mais tu le détestes parce qu'il est là à ressurgir quelques fois. Les souvenirs te submergent et tu aimerais t'y laisser emporter. Et tu dois te refuser ce dernier plaisir.

26 juin 2015

Body of Love

La caresse de tes lèvres qui couraient sur ma peau. Insensée dans mon monde. Tu partais à l’aventure de mon corps, les yeux adorateurs. Si le bonheur existait il était dans ta fougue submergeante. De la couleur de ta peau, au relief de ton visage, paysage que j’adorais sans jamais oser te le dire. Ma main seule en traçait le contour jusqu’au dernier instant.

Oh comme je t’ai aimé, homme particulier dès le premier baiser. Je n’aurais jamais pensé qu’il accrocherait un jour mon cœur.

Le début du bout du monde dans cette pièce qui n’existe plus.

Je ne t’ai pas conté la moitié du désir qui me ramenait vers toi.

Tout est fini maintenant. La méfiance a depuis longtemps pris le pas sur la confiance.

J’aurais aimé à l’infinie me noyer dans ton regard, être submerger par ton désir, disparaître dans la fusion de nos corps. J’aurais aimé toujours nos mains qui s’agrippent, nos lèvres qui souffrent de trop de baisers, notre complicité passionnée, ta tendresse bouleversante. J’aurais aimé toujours le poids et la chaleur rassurante de ton corps sur le mien à l’heure des confidences. J’aimais tout dans ta manière de bouger, tes gestes toujours justes, toujours avec l’élan dans lequel je considérais la vie.

Mais tu as fait disparaître Mo, Brice. Tu l’as effacé par peur, tu l’as détruit comme un fou. Tu l’as tué, il n’existe plus. Nous n’existons plus. J’ai sûrement aimé un personnage fictif. Mais qu’est-ce que le réel alors ? Tu le sentais pourtant. Tu le sentais sans vouloir t’avouer que c’était ça. Tu sentais comme chaque fibre de ce corps que tu aimes, te criais son amour insensé au point de ne jamais écouter le cerveau qui lui disait d’arrêter.

26 juin 2015

Nothing

C'est fou ce que tu me faisais comme bien avant. Et comme tu me stress maintenant.

22 juin 2015

"je vous aime comme on aime un être humain"

Monsieur,

Sachez que le contact de vos mains sur ma peau me manque même si je me suis privée moi-même d’être réceptive à ce touché.

Ce mouvement sur et sous mon épiderme semblable à nul autre impulsion sur cette Terre.

Terre désormais pour toujours aride de nos soupirs et de nos mots.

J’aimerais, de ces heures, garder toujours le souvenir, les senteurs sensibles et colorées. Mais je ne peux me le promettre à partir du moment où je décide de lâcher prise dessus.

Je vous promets cependant de me souvenir, à l’avenir, que le mot passion a bel et bien un sens et une valeur. Et qu’il a existé un moment où j’étais assoiffée de vous à la folie. Je me souviendrais aussi que c’est ce moment que vous avez choisi pour me rejeter en pensant ne rien pouvoir perdre.

En réalité c’est moi qui ne perdais rien. On ne peut perdre que ce que l’on a. Et vous pouviez avoir beaucoup encore de moi. Peut-être est-ce bien alors d’être parti à cet instant. Pour ne rien risquer de perdre qui puisse compter pour vous.

Puisque le reste ne comptait pas une seconde n’est-ce pas ?

Vous n’avez pas besoin de répondre, je n’ai plus de question à poser, j’ai bien tout compris.

Sachez que je vais bien et je me remercie de vous avoir accordé mon attention un jour, ou une nuit.

Sachez monsieur, que je ne vous ai jamais pris pour « ma pute », comme vous aimez si bien le dire. Je ne considère pas les gens en fonction de mon propre plaisir. Ni du leur. Vous êtes bien placé pour le savoir, parmi tous, car c’est envers vous que j’ai été sincère.

Donc monsieur, merci pour le plaisir. Puisque c’est la seule chose qui vous ai importée.

Je me souviens encore des mots prononcés par vous « Tu pourras toujours compter sur moi maintenant. ». Je vais faire en sorte de les oublier puisqu’ils n’étaient, sans aucun doute, qu’un mensonge de plus à ajouter à votre collection.

J’aimerais, monsieur, que vous fassiez attention à vous et que vous vous permettiez l’immense qualité de la sensibilité dans votre vie personnelle.

Je pense bien que vous n’en avez que faire de ce que je souhaite, mais je vous le souhaite malgré tout. C’est la dernière attention que je peux vous porter avant de m’échapper pour toujours de vous.

Sachez monsieur, que la colère ma agrippée souvent sans que je ne la montre un instant. Sachez monsieur, que je vous aime comme on aime un être humain. Et que j’aimais infiniment vos paroles quand elles étaient vraies et votre odeur quand mon visage était enfui dans votre cou.

Vos mots et vos mensonges ne pourront jamais effacer nos actions.

 J’imagine que vous préférez vous dire que ces mots non pas d'importance, ni cette jeune fille blonde qui vous écrit aujourd’hui.

Sachez cependant que cette jeune fille que vous considérez comme une « sale pute » parce qu’elle ose ne plus vous céder, n’a cédé à aucun autre homme depuis la nuit de votre rencontre.

Bien à vous que j’ai été, aujourd’hui je vous fais mes adieux.

 

« La photographe »

9 juin 2015

Dactylographiquement Mienne

Je n'aurais plus jamais ce que j'ai eu

Ce que j'ai eu n'a pas existé

Mon corps n'a jamais été à lui

S'il ne veut pas que je m'en souvienne

Qu'il ne s'en souvienne pas

Il y aura d'autres filles

Je n'en étais qu'une, comme les autres

Un bout de corps, comme les autres

Un style de jeu, comme un autre

Je n'aurais pas eu le privilège d'être considéré comme un humain

Il n'humanise personne, à part sa chair

Les pions du roi bougent sous ses doigts

La langue est chaude, la langue est glaciale,

Caressante afin d'accelerer ou de ralentir les chutes

Il s'en targue

Et voilà que nous glissons imperceptibles

Ton dactylogramme s'efface

Tes doigts que j'aimais dévorer, nulle-part ne laisseront leur trace

Tu n'es plus rien pour ma chair

Tu es devenu lui

Lui comme le rien particulier qu'il était en commençant le rien qu'il affirme

Il ne reste plus rien de lui, nulle empreinte sur ma peau

Lavée par une nouvelle étreinte

Il n'y a pas de passé selon lui, pas de présent selon moi, plus de futur selon elle

 

 

 

7 juin 2015

you

Vide intense que tu es dans ma nuit...

 

4 juin 2015

o n e l a s t n i g h t

Reviens. J'ai envie de nous retrouver encore un peu!!!! l

3 juin 2015

keep in touch

Avant j'aurais aimé retenir le temps. On cherchais toujours à l'attraper pour créer cette petite bulle d'étincelles qui n'appartient qu'à nous. Ça ne relevait pas d'une prise de décision, c'était plus de l'ordre de la nécessité; Ce qui ne peut ne pas être. 

Puis un jour on a voulu choisir. On s'est forcé à prendre du recul pour reprendre le contrôle. Ce qui était l'unique manière d'être est devenu une option. Le viscéral à laissé place au cérébrale qui s'entre choc.  

Le mot "option" n'est pas attirant, le mot "cérébral" ou "contrôle" non plus. Le désir n'est pas sensé, il est sensible.

Ma sensualité est ailleurs.

On a laissé le caprice de l'égo se glisser vicieusement entre nous, et y prendre toute la place.

Je n'arrive plus à te sentir. Ma peau est comme anesthésiée de toi.  C'est mon cerveau qui contrôle. Plus de trois mois qu'il érige cette armure contre ton pouvoir. Il semble qu'il ai fini par y arriver.

Quelque chose en moi t'aime encore mais il ne peut plus te retrouver.

Mo a disparu . Il ne reste que Brice. Je n'aime pas Brice. Il ne s'aime pas lui-même.

30 mai 2015

eat me drink me love me

A toi, impitoyable roi qui glace mon cœur de son règne tyrannique
Je ne serais jamais la voisine du dessous
Je ne serais jamais la femme de ta vie
Je suis juste moi
Tu es juste toi
Ce n'est pas toi, c'est la vie
Ce n'est pas moi, c'est la vie
Je n'ai pas changée, j'ai juste appris à calmer le feu qui me brûle
Qu'elle était belle sa silhouette dans l'obscurité de la nuit
Qu'elle était belle sa silhouette dans la clarté du jour
Et je demeurais insensible à son charme
Je ne voyais plus cette bouche que j'adore
Je ne voyais plus ce regard que j'aime
Je ne sentais plus ton odeur
Je ne voyais plus tes mains
Je sentais juste ton corps en essayant de n'en garder aucun souvenir
Je ne voulais pas que ma peau se souvienne
Je ne voulais pas que nos soufflent se rappellent
Je ne m'attendais pas à ce que tu comprennes
Qu'il était trop tard pour me donner ce que j'attendais avant
Je ne m'attendais pas à ce que tu comprennes ce que le mot "fin" signifiait vraiment
J'aurais rêvé cent fois que tu comprennes ce que je donnais de si précieux et que je ne donnais qu'à toi
J'aurais aimé qu'on s'aime comme on aime
Mais ce n'est pas moi
Ce n'est pas toi
C'est la vie
J'ai peut-être fait ça pour te punir, je ne sais pas
Sache que ta punition a été pire
Je ne t'en veux pas
Ne m'en veux pas
Souviens-toi juste comme nous étions fous. Comme nous étions deux enfants fous d'amour
Comme j'étais folle, folle de ton corps, folle de ta bouche
Comme j'aurais aimé fondre sous toi cette nuit
Souviens-toi en dans ces nuits vides
Souviens-toi de ce qui a existé
On jour peut-être, ces souvenirs réchaufferont nos âmes comme ils ont brûlés nos corps...
Pardonne moi
Pardonne toi

30 mai 2015

Le règne du tyran qui ne tira point son coup.

"Ma Luce"

Tel le roi tyrannique de la manipulation qu'il est, dans toute sa splendeur, il m'ordonna de me dévêtir et je n'en fit rien.

A vrai dire je n'avais plus conscience de ce que je faisais. J'avais conscience de ce qu'il faisait lui avec son corps sur le mien et de son cerveau qui hurlait sur mon coeur. Je le sentais prendre sa souffrance pour martyriser celle qui ne voulait lui donner l'oxygène qu'il attendait d'elle. Je le sentais fou de rage et rempli de violence autant que je l'étais de tendresse et de bienveillance. Je me collais contre lui, je lui caressais la joue, je lui attrapais les cheveux complice en lui murmurant "Faisons la paix." Je le suppliais d'arrêter, je lui demandais pourquoi il faisait ça. Je voulais lui faire se souvenir qu'il tenait à moi, mais je n'en étais plus si sûr...

Je lui disais "Arrête". Je faillis lui dire "Vas-y je m'en fou". Je le laissais poser ses lèvres sur ma poitrine un bref instant où il éveilla le désir avant de le repousser. Il me disait qu'il voulait sentir mon corps, que ca faisait trop longtemps, mais je ne voulais pas de la sensation de son corps. Je lui ai dis que ça allait me rendre triste, que je ne voulais pas partir avec le manque dans mes valises. Et il me demanda "Pourquoi tu serais triste? Tout est clair entre nous maintenant. Il n'y aura rien..." Mais il y avait déjà eu beaucoup trop. Je voulais m'excuser tellement je sentais sa souffrance sous la tempête dans laquelle j'étais prise.

Il s'arracha à moi pour me laisser dans le lit vide et froid. Froid écho de sa froideur glaciale, tour de givre impénétrable à nouveau debout.

Je lui demandais "Tu boude?", il me répondait "Non. Je ne te parle pas c'est tout."

Il prenait mes larmes comme des tromperies, perles qu'il avait lui même glacées au bord de mes yeux.

Il avait été beau, silhouette debout dans la pénombre en ouvrant la porte. Il avait était beau, impitoyable, dans la clarté du matin. Il était encore plus beau  que dans mes souvenirs, et j'étais complètement insensible à sa volonté.

 

16 mai 2015

"Je savais que je te plaisais au moment où tu m'as dis que..."

 « C’était quoi ça ? » Il m’attirait dans une pièce à l’écart des clubbeurs en délire.

Je déviais, je n’avais pas envie d’en parler, j’avais envie de lui dire « Rien, ne t’inquiète pas, on est potes. » A la place je l’ai embrassé, enfouissant ses questions sous le désir qui remontait à la surface.

J’étais la comédienne si grande dans mon domaine. Je me laissais pousser contre le mur, il m’embrassait dans le cou, il embrassait mon oreille, et cela me rendait folle. J’avais envie de lui dire « J’ai envie de toi » mais je retenais les mots au dernier instant en songeant que c’était plus par habitude que par l’envie d’une réaction de sa part. Il m’embrassait comme si il était sous mon charme et à chacun de ses baisers je me demandais s’il ne me mentait pas…

Je me souviens que dans ma tête je me suis dit « Regarde Mo, ce que tu m’as fait… »

Mais je revenais à mon partenaire en lui disant que ça n’avait pas d’importance et que non je ne voulais pas qu’il se passe un truc, que de toute façon je ne restais pas à Paris…

Je me demandais si c’était lui ou moi que j’essayais de convaincre.

Je riais en lui disant qu’il ressemblait à un gamin, et il me dévorait pour me prouver qu’il était un homme.

Une fille, au bar, nous observait l’air amusé.

Il m’avouait qu’il ne sentait plus les effets de l’alcool depuis notre premier baiser, qu’il avait une coupure dans le pied mais qu’il s’était forcé à danser pour me plaire. Et je le forçais à le faire encore en l’entrainant dans les zouks de fin de soirée sur la passerelle.

Il venait m’embrasser devant son ami quand celui-ci me draguait dehors. Il riait avec fierté quand je l’embrassais en retour sous les yeux ébahis de ce dernier.

Il me donnait sa veste rouge quand nous nous dirigions vers la plage dans le froid de la nuit.

Devant les vagues, il posait sa tête sur mes genoux en me lançant tout un tas de questions sur mon parcours. Et je débitais des paroles alors que je n’avais qu’une envie qui était de l’embrasser encore et encore, d’enlacer son corps, de rouler sur le sable…

Nous sommes rentrés à l’hôtel car il faisait froid, il était 7h10, le soleil se levait déjà sur ce dernier jour où il ne restait plus de temps…

12 mai 2015

"Pourquoi tu ne m'as pas prévenu?"

A l'aube de te quitter à nouveau pour repartir si loin, plus encore que mon corps ne l'est, je sens mon âme rattachée à toi. Je prend conscience de la nécessité de ton amitié en fait. Je réalise comme la vie nous a rendu proches. Je sens la confiance risquée que je n'accorde qu'à toi. Mon esprit a peur de se tromper, mon coeur désir avoir raison et mon corps, encore, reste sûr à 300% ...

5 mai 2015

"L'homme n'est pas libre de refuser de faire ce qui lui procure plus de plaisir que toute autre action imaginable." Stendhal

J'ai tant envie de notre folie passionnelle, si tu savais ...

Si tu savais comme mon coeur te désire quand mon esprit te dis non et force mon corps à rester loin du tient.

 

Publicité
Publicité
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 > >>
Visiteurs
Depuis la création 5 948
Publicité
Newsletter
Archives
Publicité