18 février 2014
"...délivrés du tourment d'exister..."
Les moments trop parfaits ne laissent que le goût du manque sur les lèvres...
Et l'image d'un même visage partout où l'on regarde
Tes bras manquent à mon corps comme le mat d'un voilier désormais cloué au port.
On ne sait jamais vraiment ce dont on a besoin
Mais peut-être avais-je finalement juste besoin de toi.
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