26 juin 2013
Celui qui refusait l'aurore...
Tu me manque tu me manque
Tes bras
Ta peau
Ton souffle
Ton corps se pressant contre le mien
Tes lèvres frôlantes, papillon s'envolant sur mon sourire
Une fois, deux fois, trois fois, avant de le dévorer
Caresse éphèmere qui ne vivera pas après l'aube
Dans la douce prison de ton étreinte assoifée
Retenant le présent qui n'existe pas
Nos rires qui éclatent, remparts inconscients nous ramenant vers la réalité de notre relation
Où tout cela n'aura était d'aucune importance...
© AuClairedelaVie
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