30 avril 2013
"C'est vraiment n'importe quoi!"
Peut être est-ce aimer...
Parce que si je devais mourir et que cette nuit était la dernière, je me donnerais tout entière
Au supplice de tes baisers sur mon coeur abandonné
Dans la chaleur de tes bras, la force de tes gestes pleins de douceur
La tendresse de tes lèvres sur mon visage, la morsure du désir, brûlante comme le feu que je ne veux allumer
L'envie qui consume ces nuits aussi vite que tes promesses qui s'enfuient...
J'ai faim de tes lèvres, de l'insistance de ta bouche, de la pression de ton corps contre le mien, de ce jeu dangereux, le bord de la falaise où je me penche sans tomber encore
Reste avec moi, encore un peu jusqu'à la prochaine nuit...
Luce
Publicité
Publicité
Commentaires